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Sup’Biotech : nouvel accord signé avec le Brésil

Pas une semaine sans un nouvel accord signé par Sup’Biotech à l’international. Après l’Inde la semaine dernière (lien), Vanessa Proux évoque aujourd’hui le MOU engagé avec le Brésil et en profite pour rappeler ce qui fait la force et la différence de la toute jeune école, en trois points.

Vanessa Proux, bonjour. Comment est né cet accord ?

L’école Sup’Biotech a été sollicitée par le responsable des relations internationales de l’université de Mato Grosso qui l’hiver dernier avait prévu un déplacement en région Parisienne pour visiter nos locaux et nous rencontrer. L’université de Mato Grosso souhaite se développer à l’international. Comme pour  l’accord signé avec Puerto Rico (lien), il y a une dominante de cours enseignés en espagnol et en portugais : je m’attends donc plus à recevoir des étudiants brésiliens pour nos deux dernières années de cours en anglais qu’à envoyer nos étudiants français, dans un premier temps.

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Vous qui portez le projet Sup’Biotech depuis le premier jour, cela doit être extrêmement plaisant de se voir désormais sollicitée par de prestigieuses universités à l’étranger. Voilà Sup’Biotech fermement implantée dans le paysage universitaire.

Absolument, surtout que notre visiteur avait également rendez-vous avec Centrale un peu plus tôt, ce qui situe le souhait de qualité et de compétence du projet d’échange.

Comment évoquez-vous Sup’Biotech lors de ces rencontres et quels sont les arguments que vous employez face à des décideurs qui ne vous connaissent pas encore bien, pour les convaincre de signer un partenariat ?

J’utilise souvent trois termes : dynamisme, réactivité et innovation pédagogique.

Dynamisme de part son équipe car Sup’Biotech est une école mobile, qui évolue sans arrêt, qui ne s’endort pas sur ses jeunes lauriers. Nouveaux cours, nouveaux ateliers, nouveaux contenus : nous n’hésitons pas à organiser des conférences exceptionnelles sur des technologies en vue. Le corps professoral peut intégrer un nouvel arrivant sur un sujet « chaud » qu’il faut approfondir immédiatement…et évidemment nous demandons à nos étudiants le même dynamisme face au monde professionnel. Il faut savoir bien faire ce qu’on vous demande…et en proposer encore plus !

Réactivité car le temps de réponse dans un milieu professionnel augure aussi de votre compétence : certes tout le monde est débordé, partout, mais en s’appuyant sur une bonne organisation, en utilisant au mieux les outils technologiques, nous nous devons d’être rapides, réactifs. Je le dis souvent aux étudiants : « votre réactivité est un gage de votre sérieux et vous obtiendrez plus facilement des retours positifs sur un projet »

Innovation pédagogique enfin car nous sommes une école française qui propose deux années d’enseignement intégralement dispensé en anglais, enseignement tourné sur l’étude de cas et le projet.

Peut-on tirer un premier bilan des accords à l’international signés par Sup’Biotech ?

Oui, nous avons déjà (ou allons envoyer) des étudiants en Amérique du Sud (Puerto Rico, Brésil), en Amérique du Nord (San Diego, Montréal), en Europe (Pays-Bas, Ecosse), en Afrique (Tunisie),  en Inde pour le continent Asiatique sans oublier l’Australie (Brisbane).

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Que ressentez-vous après seulement cinq rentrées en détaillant cette évolution ?

Je suis extrêmement satisfaite car même si mes premières prises de contact ont eu lieu dès la première année, à l’ouverture de l’école, tout a été signé en dix huit mois, très récemment. D’ailleurs, vu l’ampleur prise par notre développement à l’international je serai secondée dès la rentrée par Gavin Browne.

Sup’Biotech va t’elle privilégier certains continents, certains pays ?

J’évoquais notre signature avec Jaipur récemment (lien) mais sur l’Asie, nous aimerions approfondir notre présence sur la Chine. Mi-septembre, se tiendra à Madrid une convention européenne, l’EAIIE, convention qui rassemble des universités et des écoles du monde entier et je vous tiendrais rapidement au courant des nouveaux partenariats évoqués par Gavin ou moi-même.

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À propos

SupBiotech est une école d’ingénieurs spécialisée en Biotechnologies, proche du monde de la Recherche comme du monde de l’Entreprise, qui propose une formation innovante en 5 ans après le bac. Ce cursus permet aux étudiants d’accéder rapidement à des postes à responsabilités, en France comme à l’International, dans les secteurs très porteurs de la santé et la pharmacie, de l’innovation agroalimentaire, de la cosmétologie, de la bio-informatique ou encore de l’environnement. Les études, combinant fondamentaux académiques, projets étudiants et stages en entreprise, sont découpées en deux parties selon la norme européenne : le cycle préparatoire (2 ans) et le cycle ingénieur (3 ans). La formation des ingénieurs en Biotechnologies de SupBiotech est labellisée par Medicen Paris Région et Bioeconomy for Change : SupBiotech propose également une filière apprentissage à partir de bac+3, ainsi qu’un  Bachelor en Biotechnologies, une formation certifiée et reconnue en 3 ans qui délivre le grade de licence, accessible après le bac. SupBiotech est un établissement d’enseignement supérieur privé habilité à délivrer le titre d’ingénieur et reconnu par l’État (arrêté du 15/12/14 et B.O du 08/01/15).

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