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    SupBiotech Saint-Valentin : l’amour est dans la biotech

Saint-Valentin : l’amour est dans la biotech

Si Sup’Biotech forme des professionnels dans le secteur en biotechnologies, il arrive que certains de ses étudiants finissent par former… un couple ! En ce jour de Saint-Valentin, découvrez l’histoire de Guillaume Hermant et Alice Meneboode (Sup’biotech promo 2011), les premiers « mariés » de l’école qui se sont dit « oui » le 27 septembre 2014 !

maries_anciens_diplomes_saint-valentin_supbiotech_biotechnologies_02.jpgComment vous-êtes-vous rencontrés ?
Alice : En fait, comme on est de la même promo, on s’est rencontrés en 1re année. À l’époque, on était copains sans être plus proches que ça : d’ailleurs, j’étais déjà avec quelqu’un à cette époque-là. Pendant deux et demi, on a donc été « simples » camarades de classe, puis les choses se sont précisées à la soirée de Noël 2008…
Guillaume : Le 19 décembre pour être précis !
Alice : Et voilà, ça a commencé comme ça. De la camaraderie au départ…
Guillaume : … avant qu’on ne se rapproche en fin d’année 2008.

Le déclic, c’était quoi ? Une blague sur les molécules autour d’un verre ?
Guillaume : C’était plutôt une chasse assidue !
Alice : Oui : j’ai chassé longtemps Guillaume ! (rires) Il était un peu timide avec les filles. Donc j’ai dû faire plusieurs tentatives d’approche, sur deux-trois mois !

Le fait d’être en couple à l’école vous a-t-il fait suivre les mêmes cursus ?
Guillaume : En quelque sorte car nous étions tous les deux en Production. Nous avons donc été dans la même classe de la 1re à la dernière année.
Alice : Moi j’étais en Cosmétique et toi en Santé. D’ailleurs, je pense que c’est aussi comme ça qu’on s’est rapprochés en 3e année car la classe Production était assez petite. C’est là qu’on a commencé à plus se parler et se découvrir.
Guillaume : Cela facilite les choses, en effet !
Alice : Par contre, on n’a jamais choisi le cursus pour être ensemble. C’est vraiment parce qu’on était tous les deux intéressés par ce domaine d’activités. Pour les stages, on n’a pas non plus cherché aux mêmes endroits.
Guillaume : Ce n’était pas un objectif d’être ensemble en stage, au contraire.
Alice : C’était bien de se voir en fin de journée et le week-end mais on ne voulait pas mélanger travail et vie perso.

Puisqu’on parle de travail, que faites-vous aujourd’hui ?
Alice : Je suis responsable affaires réglementaires dans un laboratoire pharmaceutique, Sinclair Pharma. Je travaille pour l’export et, en gros, mon travail consiste à obtenir les autorisations de mises sur le marché de médicaments, dispositifs médicaux et cosmétiques au Moyen-Orient, en Afrique, au Pakistan et en Turquie.
Guillaume : Quant à moi, je suis responsable adjoint de production chez Stallergenes à Antony. À partir de commandes qui tombent liées aux ordonnances d’allergologues, mon boulot consiste à préparer les traitements et diagnostics pour les patients.

maries_anciens_diplomes_saint-valentin_supbiotech_biotechnologies_01.jpgVous pouvez être amenés à travailler sur des sujets communs ?
Alice : Nos corps de métier peuvent se croiser de temps en temps mais on ne travaille pas main dans la main. Mon travail est quand même très en amont. Il va y avoir effectivement des productions faites pour que je puisse obtenir des enregistrements puisque j’ai toujours besoin d’échantillons pour les autorisations. Mais une fois que l’enregistrement est approuvé, la production va marcher toute seule avec la logistique. Le réglementaire va parfois intervenir s’il y a un problème ou des changements de réglementation.
Guillaume : Il n’y a pas de connexion comme cela pourrait être le cas entre l’assurance qualité et la production par exemple.

Et la demande de mariage, elle s’est faite à Sup’Biotech ou après ?
Guillaume : Après. Et pour être précis, elle s’est faite le 7 octobre 2013, un matin avant d’aller au boulot !
Alice : Dans la cuisine ! C’était très spontané en fait. Il m’avait dit qu’il me surprendrait et j’avoue que ce lundi matin-là, j’ai bien été surprise : s’il l’avait faite en réservant une soirée au restaurant, je l’aurais vu venir à des kilomètres !

Le mariage a été célébré en septembre 2014, à Orléans. Vous ne vouliez pas le faire à l’école, pour boucler la boucle ?
Alice : On a hésité mais les disponibilités n’étaient pas top car il y avait une JPO ! (rires) Par contre, il y avait une vingtaine d’Anciens de Sup’Biotech présents.
Guillaume : On a même eu droit à une petite vidéo de Vanessa Proux (Directrice Générale), Thierry Picaud (Directeur des Études du Cycle Expertise) et Jennifer Battu (assistante pédagogique du Cycle Expertise) !

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À propos

SupBiotech est une école d’ingénieurs spécialisée en Biotechnologies, proche du monde de la Recherche comme du monde de l’Entreprise, qui propose une formation innovante en 5 ans après le bac. Ce cursus permet aux étudiants d’accéder rapidement à des postes à responsabilités, en France comme à l’International, dans les secteurs très porteurs de la santé et la pharmacie, de l’innovation agroalimentaire, de la cosmétologie, de la bio-informatique ou encore de l’environnement. Les études, combinant fondamentaux académiques, projets étudiants et stages en entreprise, sont découpées en deux parties selon la norme européenne : le cycle préparatoire (2 ans) et le cycle ingénieur (3 ans). La formation des ingénieurs en Biotechnologies de SupBiotech est labellisée par Medicen Paris Région et Bioeconomy for Change : SupBiotech propose également une filière apprentissage à partir de bac+3, ainsi qu’un  Bachelor en Biotechnologies, une formation certifiée et reconnue en 3 ans qui délivre le grade de licence, accessible après le bac. SupBiotech est un établissement d’enseignement supérieur privé habilité à délivrer le titre d’ingénieur et reconnu par l’État (arrêté du 15/12/14 et B.O du 08/01/15).

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