Institut de recherche en informatique : Plus de biologie et de médécine
Par Anna Musso
L’Institut national de recherche en informatique et automatique (INRIA) a présenté son quatrième plan stratégique pour la période 2008-2012. Au programme : développer, bien entendu, l’Internet du futur et l’ingénierie numérique… mais également les sciences et la médecine numériques.
« Contribuer, dans son domaine, aux défis sociétaux et aux enjeux économiques de notre époque » : telle est l’ambition affichée par le quatrième plan stratégique 2008-2012 de l’Institut national de recherche en informatique et automatique (INRIA). Partant du constat que les sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC) bouleversent les manières de communiquer, d’interagir, de produire et sont porteuses de mutations sociales, l’INRIA a défini ses axes prioritaires de recherche, en fonction de cette nouvelle donne.
Plus de biologie et de médecine
Les quatres premiers visent à développer des concepts originaux, des méthodes novatrices et des outils efficaces sur la modélisation, la programmation, la communication et l’interaction. Des compétences qui seront, bien évidemment mises au service de l’Internet du futur (web sémantique, services personnalisé…) et de l’ingénierie numérique (conception de logiciels et de systèmes embarqués à bord d’un objet physique, soumis à de fortes exigences de dynamique et de sûreté). Mais qui seront également appliquées aux sciences numériques, et notamment aux sciences de la matière (étude et conception de nouveaux matériaux), de la vie (simulation du fonctionnement d’une cellule vivante, d’une plante ou de populations animales) et de l’environnement (impact du réchauffement, évaluation des risques écologiques, stratégies de prévention…). […]
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